quinta-feira, 2 de novembro de 2017

PELAS RUAS DE ROUEN



Andando pelas ruas centrais de ROUEN 

encontramos a especialidade 

"Les macarons de Grand-Mère Auzou"

 - les meilleurs macarons de Rouen. 

Além dos macarons ficamos de água na boca 

com toda a oferta existente...



para mim, que adoro canela, 

estes "Cannelés" marchavam... 

mas, além de não ter fome à hora que lá passei, 

olho para o preço e também para o facto de ser diabética 

e, sigo em frente!






por todo o lado há muita oferta, 

esta tendinha estava junto à Igreja de Joana D'Arc





andando pelas ruas de Rouen 

vi um gato à janela a apanhar Sol, 

imagino como estaria satisfeito com o calorzinho... 

depois cruzo-me com o comboio turístico




reparo em duas placas com o mesmo nome, 

numa das ruas centrais, 

uma placa era antiga e a outra mais moderna,

muito sinceramente gosto mais da antiga...








e, chego à esquina da Rue du Gros Horloge 

com a Rue Ecuyere 

logo mais adiante... 

vejo à minha frente o HORLOGE que é lindíssimo!



deparo-me com um "pintor de rua" 

que está muito concentrado a pintar 

o fabuloso "Gros Horloge" e toda a área envolvente




continuando o passeio pela cidade, 

numa rua de menos movimento 

vejo dois homens vestidos a rigor, 

a simular uma cena que estava a ser filmada... 

ao ouvir vozes, um dos homens vira-se 

e ainda me viu a captar o momento...





passei por uma esplanada muito colorida e simpática





e, no regresso ao autocarro vejo 

o "Temple Saint-Éloi"




9 comentários:

  1. Nunca lá fui, mas pelas fotos (magníficas) fiquei com vontade de visitar Rouen.
    Bom fim de semana, amiga Tulipa.
    Beijo.

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  2. Le temple Saint-Éloi est une ancienne église, située au sud de la place du Vieux-Marché,
    près de l'hôtel de Bourgtheroulde,
    sur la place Martin-Luther-King, à Rouen.
    L'ancienne église fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 22 juin 1911.

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  3. C'est à l'origine une chapelle sur une île,
    jointe à la terre ferme à la période des ducs de Normandie.

    Elle devient paroissiale quand le quartier s'est construit.
    Une église est commencée le 5 juillet 1228.
    Elle dépendait du chapitre de la cathédrale.

    L'église, reconstruite au début du xvie siècle, est pillée par les calvinistes le 8 mars 1563.
    En 1580, l'édifice est achevé, avec la tour et la rose sur le portail principal.
    Des travaux sont entrepris au début du xviiie siècle par l'architecte Jean-Jacques Martinet.

    Fermée en 1791, désaffectée, elle est transformée en magasin à fourrage, puis en fabrique de plomb de chasse, à cause de la présence de son clocher.
    L'église devient un temple protestant en 1803 par décision de Napoléon.
    En 1857, les échoppes situées contre le temple sont détruites.

    Le temple subit des dégâts lors des bombardements alliés de mai 1944
    et fut rouvert au culte le 2 avril 1950.

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  4. Le temple Saint-Éloi n'est pas l'édifice historique le plus visité de Rouen car,
    hormis pour les offices religieux ou les journées du patrimoine, il est toujours fermé.

    Et son aspect extérieur, qui n'a pas été restauré, n'est pas des plus accrocheurs.
    Pourtant son architecture revêt un intérêt certain et deux verrières Renaissance y subsistent.

    L'emplacement où se trouve le temple Saint-Éloi était à l'origine une île au milieu de la rivière.
    Une petite chapelle s'y dressait.
    Cette île fut rattachée à la terre ferme à l'époque des premiers ducs de Normandie (Xe siècle).

    Au XIIIe, une église remplaça la chapelle.
    On ne sait pas à quoi elle ressemblait, ni dans quel état elle se trouvait quand la décision fut prise, au début du XVIe siècle, d'en construire une nouvelle.
    On ignore d'ailleurs qui en a dessiné les plans.
    Cette construction commença par l'est, c'est-à-dire par le chevet et les deux travées adjacentes.

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  5. La tour (qui n'est pas d'une grande beauté)
    date de la fin du XVIe siècle, tout comme la rose, assez sobre, au-dessus du portail principal.

    Le clocher en charpente qui surmonte la tour date du XVIIe siècle.

    Au XVIe siècle, l'église possédait un style intérieur gothique.

    Il fut transformé en baroque au début du XVIIIe par l'architecte Martinet.

    À la Révolution, Saint-Éloi compta au nombre des treize paroisses conservées à Rouen.

    En 1791, elle fut fermée, puis transformée en magasin à fourrage et, en 1793, en fabrique de plombs de chasse.
    En 1803, Bonaparte, premier Consul, attribue l'édifice au culte réformé.

    Une fois réparés les dommages subis lors de la seconde guerre mondiale, le temple fut rendu au culte en 1950.

    Pour ceux qui aiment les vitraux, l'intérêt du temple Saint-Éloi réside
    dans les deux belles verrières du chœur, datées du XVIe siècle.

    La baie centrale (murée au XVIIIe pour accueillir une gloire) recevait une Crucifixion.
    Elle est aujourd'hui installée à l'église Saint-Nicaise, à Rouen.
    Cette page donne un très large aperçu des deux verrières en place.

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  6. Gatos, pintores, bolinhos, arquitectura, cinema, toponímia... um post verdadeiramente completo. Acrescentando a qualidade e a oportunidade das fotografias. Assim é que deveriam ser todos os posts nos blogues e no facebook, informativos e apelativos e ilustrativos. Se alguém for a esta cidade tem aqui um guia melhor que muitos mapas. Fiquei com vontade de lá ir o ver as tuas fotos e com água na boca com as bolinhas de côco. :-)

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  7. Mais uma reportagem com fotografias muito originais. Desta vez pelas ruas de Rouen.
    Uma boa semana.
    Beijos.

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  8. Excelentes fotografias.
    Obrigada pela partilha.
    Abraço

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  9. Uma viagem inesquecível, certamente!... Esta cidade é de um encanto a toda a prova... mais uma série de belíssimas e deliciosas imagens...
    Beijinho
    Ana

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